Tout vit et existe au sein d’un univers baignant dans un champ d’énergie universel, où chaque vibration est créatrice de matière (la physique quantique initiée par Max Planck). Nous sommes tous connectés à cette énergie et tous interconnectés. Comprendre que notre corps est matière, que la matière et la pensée sont vibrations et énergies, éclaire sur la manière dont nos pensées, nos peurs, nos souhaits façonnent nos vies.

En parallèle de ce bain universel émetteur et récepteur d’informations, dans lequel nous sommes en co-création (l’inconscient collectif décrit par Karl Jung), notre corps baigne dans différents liquides qui imprègnent nos cellules de nos mémoires et nos pensées (la mémoire de l’eau étudiée par Jacques Benveniste puis par le professeur Montagnier).

Notre pensée est énergie et matérialise dans notre corps physique, les mémoires sont énergies et imprègnent nos cellules. Nos cellules sont donc autant créées (génétique, transgénérationnel) que créatrices et sont imprégnées de nos choix de pensées, de nos histoires familiales et ancestrales, de nos blessures. 

 

Remettre de l’Energie de guérison, de la Lumière prend tout son sens.

 

Et l’âme dans tout cela ? Le mot âme vient de anima, « souffle, respiration ».

Pour les Egyptiens, l'âme recouvre trois éléments : le ka, le baï et l'akh. Le ka est l'énergie ou force vitale ou le « double » spirituel de la personne. Le baï est représenté par un oiseau à tête humaine qui quitte le corps à la mort de la personne. Le baï a le visage de la personne décédée. L'akh est l'esprit de Rê, qui renferme le concept de Lumière — l'esprit transfiguré d'une personne qui ne fait plus qu'un avec la Lumière après la mort. Le contraire de l'akh est Mout (mort), l'état d'une personne qui est morte mais n'est pas encore devenue Lumière.

Pour eux, l’âme est une énergie particulière, éternelle qui, lorsqu’elle quitte le corps, rejoint l’Un.

Chacun détient sa propre réponse.

 

"Plus je découvre, plus je m'émerveille;
plus je m'émerveille, plus je m'incline;
plus je m'incline, plus je découvre."
Albert Einstein

 

 

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